2018-05-24

 

Souvenirs d'Épinal 2016

Ma première visite au festival des Imaginales d'Épinal remonte à mai 2009.  On trouvera ici quelques photos et quelques visages familiers.  J'étais revenu en 2016, mais je n'avais posté sur mon blogue qu'un horaire de mes interventions.  Pourtant, j'avais pris des photos.  Puisque je suis de retour à Épinal, je vais en exhumer quelques-unes, à commencer par ce cliché de la délégation des éditions d'Alire qui se tient sous l'affiche du festival à l'entrée du grand jardin qui l'accueille.


On reconnaîtra, de gauche à droite, Jean Pettigrew, Philippe-Aubert Côté, Jonathan Reynolds, Louise Alain et Philippe Turgeon.  Ensuite, une photo de la table d'Alire tenue, entre autres, par Jonathan Reynolds qui brandit les reproductions des drapeaux canadiens et québécois qui lui serviraient à bien distinguer la table de ses voisines.


La photo suivante remonte sans doute à la veille quand la tente qui accueille les exposants était encore en train d'être aménagée.  Quand s'amorce le festival, ce grand espace se remplit rapidement.


Les photos suivantes sont plus touristiques.  Après les Utopiales de 2013, quand j'avais à peine profité de l'événement pour un ensemble de raisons, j'avais résolu de ne pas laisser passer l'occasion de garder un peu de temps pour une visite de la ville.  Vers l'entrée du parc où se déroule le festival, j'ai pris cette photo d'un monument commémoratif.


J'ai aussi trouvé le temps d'aller visiter le musée consacré aux célèbres images d'Épinal et à l'industrie imagière de la ville en des temps plus anciens.  La promenade pour s'y rendre, le long des flots de la Moselle, m'a permis de prendre quelques jolies photos des berges du cours d'eau sous un soleil radieux.


Je ne connais pas l'identité et le rôle de cet édifice (ou j'ai oublié ce que j'avais pu apprendre), mais j'aime bien le rythme visuel créé par les fenêtres et les poteaux.  Ainsi que par leurs reflets dans l'eau.  La course de la Moselle est interrompue par quelques barrages ou autres aménagements (des canaux ne sont pas loin).  Un de ces obstacles opposés à la force du courant avait récolté les restes d'un arbre tombé à l'eau ou arraché à sa berge.  Le reflet dans l'eau est presque plus distinct que l'original...


Enfin, je garde de ce festival le souvenir de plusieurs hommages à l'auteur Ayerdhal, qui venait de disparaître quelques mois plus tôt.  Ces interventions ont culminé avec le nom donné à un carrefour du jardin d'Épinal.

Ce panneau temporaire a sans doute été remplacé depuis par quelque chose de plus permanent, que je m'attends à voir aujourd'hui.  En 2016, j'ai complété mes promenades en ville par une excursion pour visiter les restes du château médiéval qui surplombe la ville.

On apprécie mieux le travail des maçons en se rapprochant des restes du donjon, sauf erreur, pour admirer cette muraille, par exemple.

Ou peut-être s'agit-il du mur d'enceinte, tout compte fait.  Il faudrait que j'y retourne pour voir.  J'avais aussi pris en photo ce vestige d'une structure difficilement identifiable aujourd'hui, mais qui m'a paru visuellement intéressant en tant que tel.  C'est le plaisir parfois procuré par les ruines...


La vue de la ville du haut de la butte du château est moyenne, car la cuvette où s'étend Épinal restreint un peu les perspectives.  J'ai donc enjolivé ma photo des toits de la ville en y mettant ce sac bleu qui accompagne mes voyages depuis plus de trente ans...


Ce qui complète mon petit survol photographique de mon séjour en 2016.  C'est un peu mon équivalent de la fresque que les artistes invités étaient en train de réaliser sous la tente en 2016, comme on le voit dans cette ultime photo...


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L'édifice est la maison romaine (inscrite monument historique). Construite en 1892 par une riche industrielle, elle s'inspire des villas hellénistiques du Sud de l'Italie romaine. Sa propriétaire étant ruinée, la propriété inachevée fut achetée par la ville en 1902. L'ensemble est entouré d'une roseraie de style jardin à la française d'une superficie de 3 000 m2 et offre une collection de quelque 500 variétés de rosiers. Elle abrite aujourd'hui le centre du pôle images de la ville. (c'était la minute touristique)
 
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