2009-08-04
Mes parutions à Anticipation (3)
Mon trio de nouvelles sorties pour Anticipation est complété, après un texte inclassable dans Brins d'éternité et une nouvelle fantastique dans Tesseracts Thirteen, par une nouvelle de pure
science-fiction, « Désaxés », dans Solaris 171. Je reproduis la couverture ci-contre pour compléter la série. Comme on peut le constater, le sommaire est extrêmement relevé : deux des trois auteurs au nombre des invités d'honneur d'Anticipation ont signé trois textes dans la revue. Les deux nouvelles de Neil Gaiman se laissent lire avec un plaisir certain, tandis qu'Élisabeth Vonarburg nous rappelle tout son talent de conteuse dans une histoire inédite du cycle de Tyranaël. Une nouvelle uchronique d'Alain Bergeron plus ou moins dédiée au quatre centième anniversaire de Québec (avec un an de retard!) et une nouvelle de fantasy urbaine d'Éric Gauthier complètent le numéro. Mon propre récit a été inspiré par ce qu'on croit savoir de la géologie d'Encelade, mais aussi par des idées de Hofstadter sur les origines de la conscience de soi chez l'être humain. Et j'ai même intégré l'annonce de la découverte (.PDF) de moisissures qui, à Tchernobyl, poussent mieux en présence d'un rayonnement gamma. De là à dire qu'elles bouffent des rayons gamma et à en faire un symbionte pour voyageurs de l'espace... On peut reprocher à ce texte de compter beaucoup trop d'idées en aussi peu de pages, mais je ne voudrais pas me ranger avec cet empereur autrichien qui, dans Amadeus, reprochait à Mozart de mettre trop de notes dans sa musique...
science-fiction, « Désaxés », dans Solaris 171. Je reproduis la couverture ci-contre pour compléter la série. Comme on peut le constater, le sommaire est extrêmement relevé : deux des trois auteurs au nombre des invités d'honneur d'Anticipation ont signé trois textes dans la revue. Les deux nouvelles de Neil Gaiman se laissent lire avec un plaisir certain, tandis qu'Élisabeth Vonarburg nous rappelle tout son talent de conteuse dans une histoire inédite du cycle de Tyranaël. Une nouvelle uchronique d'Alain Bergeron plus ou moins dédiée au quatre centième anniversaire de Québec (avec un an de retard!) et une nouvelle de fantasy urbaine d'Éric Gauthier complètent le numéro. Mon propre récit a été inspiré par ce qu'on croit savoir de la géologie d'Encelade, mais aussi par des idées de Hofstadter sur les origines de la conscience de soi chez l'être humain. Et j'ai même intégré l'annonce de la découverte (.PDF) de moisissures qui, à Tchernobyl, poussent mieux en présence d'un rayonnement gamma. De là à dire qu'elles bouffent des rayons gamma et à en faire un symbionte pour voyageurs de l'espace... On peut reprocher à ce texte de compter beaucoup trop d'idées en aussi peu de pages, mais je ne voudrais pas me ranger avec cet empereur autrichien qui, dans Amadeus, reprochait à Mozart de mettre trop de notes dans sa musique...Libellés : Écriture, Science-fiction
