2007-12-29
Le bilan des cartes de Noël
Il paraît que les cartes de souhaits pour Noël et le Nouvel An ne sont plus à la mode. Si les traditions se perdent, elles n'ont pas encore disparu. Les cartes de vœux électroniques ont encore la cote dans certains cas, quand ce n'est pas tout simplement un lien vers un vidéo de YouTube. Néanmoins, je reçois encore ma part de cartes traditionnelles, même si certaines sont un brin moins traditionnelles. Si je faisais le palmarès des cartes les plus originales, cela inclurait :
1) La carte-rétrospective de Christian Sauvé, avec moult photos et dans les deux langues officielles du pays. Comme nous avons assisté à plusieurs congrès de sf en même temps, je reconnais certaines des photos. À Vancouver, par exemple, il est de toute évidence passé aussi par la succursale principale de la bibliothèque municipale (voir ci-dessous), qui a beaucoup plus de gueule que le triste hangar verdâtre de Lise Bissonnette, même sous un ciel plombé par la grisaille. 2) La carte-gadget de Soulières Éditeur, qui consiste cette année en une aquarelle de Noël à colorier soi-même avec de la peinture à l'eau (pinceau inclus)... de quoi rappeler les étés de nos enfances.
3) La carte du Musée de la Civilisation de Québec, que j'ai reçue deux fois. La première, c'était pour me remercier de ma contribution à une expo à venir. La seconde, je ne sais pas trop...
D'autres cartes mériteraient une mention, dont celle que Jean-Pierre Normand illustre lui-même, mais il faut que je me repose pour un party chez la Kifophile...
(L'espace intérieur de la Grande Bibliothèque de Vancouver, que l'on a aussi pu voir dans un film d'Arnold Schwarzenegger, The 6th Day...)
1) La carte-rétrospective de Christian Sauvé, avec moult photos et dans les deux langues officielles du pays. Comme nous avons assisté à plusieurs congrès de sf en même temps, je reconnais certaines des photos. À Vancouver, par exemple, il est de toute évidence passé aussi par la succursale principale de la bibliothèque municipale (voir ci-dessous), qui a beaucoup plus de gueule que le triste hangar verdâtre de Lise Bissonnette, même sous un ciel plombé par la grisaille. 2) La carte-gadget de Soulières Éditeur, qui consiste cette année en une aquarelle de Noël à colorier soi-même avec de la peinture à l'eau (pinceau inclus)... de quoi rappeler les étés de nos enfances.
3) La carte du Musée de la Civilisation de Québec, que j'ai reçue deux fois. La première, c'était pour me remercier de ma contribution à une expo à venir. La seconde, je ne sais pas trop...
D'autres cartes mériteraient une mention, dont celle que Jean-Pierre Normand illustre lui-même, mais il faut que je me repose pour un party chez la Kifophile...
(L'espace intérieur de la Grande Bibliothèque de Vancouver, que l'on a aussi pu voir dans un film d'Arnold Schwarzenegger, The 6th Day...)
Libellés : Photographie, Vie