2007-05-31
De la rivière à l'océan
Hier, le nouveau roman d'Esther Rochon, La rivière des morts, connaissait son lancement montréalais au Centre Shambhala. Arrivé en retard, j'ai assisté à la lecture d'un long extrait du début par l'autrice. Comme j'ai déjà lu le livre mais que je ne l'ai pas relu, j'ai été frappé par les indices semés dès les premières pages pour préparer la révélation majeure du roman. En fait, il s'agit moins d'un indice que d'un écho par avance, la constitution d'un ensemble de motifs qui prendront tout leur sens avec cette révélation, tout en rendant celle-ci un tantinet moins surprenante ou étrangère dans le cadre de notre monde.
Après, j'ai embarqué sur les sept mers. La troisième livraison de Pirates of the Caribbean est trop frénétique pour avoir le charme du premier et, dans une moindre mesure, du deuxième. Ce qui n'en fait quand même pas un film à dédaigner. La dimension fantastique des premiers films s'amplifie encore plus et nous fait verser dans un univers qui prend de l'épaisseur. À la limite, l'action est légèrement plus lisible que dans les scènes fort affairées du film précédent. La fin laisse prévoir une suite possible, si les profits le justifient, et elle permet de juxtaposer le capitaine Jack qui vogue à la recherche de la fontaine de Jouvence pour accéder à l'immortalité personnelle et, dans la dernière scène insérée après le générique, l'enfant d'Elizabeth, autre moyen de défier la mort. La fraîcheur des débuts n'y est plus, mais, dans la catégorie des grands machins hollywoodiens, c'est un film qui conserve beaucoup d'inventivité et quelques bons gags.
Après, j'ai embarqué sur les sept mers. La troisième livraison de Pirates of the Caribbean est trop frénétique pour avoir le charme du premier et, dans une moindre mesure, du deuxième. Ce qui n'en fait quand même pas un film à dédaigner. La dimension fantastique des premiers films s'amplifie encore plus et nous fait verser dans un univers qui prend de l'épaisseur. À la limite, l'action est légèrement plus lisible que dans les scènes fort affairées du film précédent. La fin laisse prévoir une suite possible, si les profits le justifient, et elle permet de juxtaposer le capitaine Jack qui vogue à la recherche de la fontaine de Jouvence pour accéder à l'immortalité personnelle et, dans la dernière scène insérée après le générique, l'enfant d'Elizabeth, autre moyen de défier la mort. La fraîcheur des débuts n'y est plus, mais, dans la catégorie des grands machins hollywoodiens, c'est un film qui conserve beaucoup d'inventivité et quelques bons gags.
Libellés : Fantastique, Films, Livres, Science-fiction