2006-11-09
New York, que faire?
Me voici à New York, aux confins de Greenwich Village, aux prises avec une question : que faire?
N'empêche que cela tombe bien. J'arrive à New York, capitale des États bleus d'Amérique (à moins que ce ne soit San Francisco), au lendemain de la victoire démocrate dont la taille reste encore suspendue au décompte des voix en Virginie. C'est plus énergisant que d'y arriver au temps de l'hégémonie des Républicains! Les journaux annoncent en une le départ de Donald Rumsfeld («Rums felled», «Don's Gone») et, comme par hasard, il fait soleil. Pourtant, le temps est au changement.
Les mesures de sécurité sont présentes (il fallait voir la débauche de nouvel équipement aux douanes), mais pas nécessairement plus qu'à Paris. Ainsi, on avertit les usagers du métro que les gros sacs peuvent être fouillés à la discrétion des forces de l'ordre, mais les poubelles n'ont pas l'air d'avoir incorporé la crainte des bombes qui se manifeste à Paris par l'emploi de sacs transparents, par exemple. D'ailleurs, si les journaux gratuits ne manquent pas, le métro a du retard, dirait-on, sur le métro de Montréal (qui a longtemps eu du retard sur le métro de Toronto) : pas trace de poubelles ou bacs pour le recyclage.
En attendant le début du congrès pour lequel je suis venu, j'ai quelques heures à occuper. Comme je suis à deux pas de la Fifth Avenue, j'ai l'embarras du choix, puisque c'est l'artère des grands musées — Guggenheim (fermé aujourd'hui), MOMA — et aussi des bureaux de Tor.
Alors, que faire?
N'empêche que cela tombe bien. J'arrive à New York, capitale des États bleus d'Amérique (à moins que ce ne soit San Francisco), au lendemain de la victoire démocrate dont la taille reste encore suspendue au décompte des voix en Virginie. C'est plus énergisant que d'y arriver au temps de l'hégémonie des Républicains! Les journaux annoncent en une le départ de Donald Rumsfeld («Rums felled», «Don's Gone») et, comme par hasard, il fait soleil. Pourtant, le temps est au changement.
Les mesures de sécurité sont présentes (il fallait voir la débauche de nouvel équipement aux douanes), mais pas nécessairement plus qu'à Paris. Ainsi, on avertit les usagers du métro que les gros sacs peuvent être fouillés à la discrétion des forces de l'ordre, mais les poubelles n'ont pas l'air d'avoir incorporé la crainte des bombes qui se manifeste à Paris par l'emploi de sacs transparents, par exemple. D'ailleurs, si les journaux gratuits ne manquent pas, le métro a du retard, dirait-on, sur le métro de Montréal (qui a longtemps eu du retard sur le métro de Toronto) : pas trace de poubelles ou bacs pour le recyclage.
En attendant le début du congrès pour lequel je suis venu, j'ai quelques heures à occuper. Comme je suis à deux pas de la Fifth Avenue, j'ai l'embarras du choix, puisque c'est l'artère des grands musées — Guggenheim (fermé aujourd'hui), MOMA — et aussi des bureaux de Tor.
Alors, que faire?
Libellés : États-Unis, Voyages
Comments:
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Cher Jean-Louis,
(chanceux! New York!)
Je te suggère le MET sans hésitation, mais j'imagine que tu y a déjà fait un saut... Mais c'est comme pour le Louvre, on n'a jamais fini de découvrir les beautés du MET.
Bon séjour dans la big apple! profites-en, NY est une ville fort agréable à explorer et à marcher (je sais comme tu aimes la marche urbaine).
(chanceux! New York!)
Je te suggère le MET sans hésitation, mais j'imagine que tu y a déjà fait un saut... Mais c'est comme pour le Louvre, on n'a jamais fini de découvrir les beautés du MET.
Bon séjour dans la big apple! profites-en, NY est une ville fort agréable à explorer et à marcher (je sais comme tu aimes la marche urbaine).
Ah, en fin de compte, je n'ai vraiment pas eu le temps de visiter des musées. J'espérais encore trouver un peu de temps libre dimanche matin, mais le travail, soupir...
Ce sera pour une prochaine fois.
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Ce sera pour une prochaine fois.
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