2009-06-01
Aussi ridicule au retour...
La connection entre l'aéroport Trudeau de Montréal et la ville est aussi ridicule au retour de voyage qu'à l'aller.
Comparons... À Nice, j'ai pris un des nouveaux tramways (électriques, spacieux, vaguement climatisés) au terme d'une attente de quatre minutes (le délai étant annoncé sur un panneau à chaque arrêt) pour aboutir devant la gare centrale de la ville, dont part un autobus direct qui dessert les deux aérogares de l'aéroport. Attente de quelques minutes encore, en bonne compagnie, de sorte que je n'ai pas vu le temps passer. Le trajet est rapide, sans grande attente et particulièrement effficace, de porte à porte.
À Montréal, il faut attendre à l'aéroport (bien plus de cinq minutes) que passe le 204 pour franchir le petit kilomètre jusqu'à la gare Dorval. Nouvelle attente pour prendre le 211 qui nous débarque au métro Lionel-Groulx. Nouvelle attente pour le métro, puis une nouvelle attente pour attraper l'autobus qui me dépose devant chez moi. J'aurais pu marcher au lieu de prendre cet autobus final, mais je tenais à mesurer la lenteur du processus jusqu'au bout. Et j'ai vu.
Comparons... À Nice, j'ai pris un des nouveaux tramways (électriques, spacieux, vaguement climatisés) au terme d'une attente de quatre minutes (le délai étant annoncé sur un panneau à chaque arrêt) pour aboutir devant la gare centrale de la ville, dont part un autobus direct qui dessert les deux aérogares de l'aéroport. Attente de quelques minutes encore, en bonne compagnie, de sorte que je n'ai pas vu le temps passer. Le trajet est rapide, sans grande attente et particulièrement effficace, de porte à porte.
À Montréal, il faut attendre à l'aéroport (bien plus de cinq minutes) que passe le 204 pour franchir le petit kilomètre jusqu'à la gare Dorval. Nouvelle attente pour prendre le 211 qui nous débarque au métro Lionel-Groulx. Nouvelle attente pour le métro, puis une nouvelle attente pour attraper l'autobus qui me dépose devant chez moi. J'aurais pu marcher au lieu de prendre cet autobus final, mais je tenais à mesurer la lenteur du processus jusqu'au bout. Et j'ai vu.
Comments:
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Jean-Louis,
Pour ma part, sauf dans les cas où j'ai un lourd bagage, je fais le trajet aéroport-gare Dorval à pied, en coupant en diagonale dans les divers stationnements de l'aéroport, rejoignant la gare Dorval en traversant un terre-plein puis en traversant une voie de service qui mène vers l'autoroute! C'est peu orthodoxe, mais souvent plus rapide que d'attendre la 204! Évidemment, aucun visiteur à Montréal ne pourrait imaginer emprunter ce trajet improvisé.
Pour ma part, sauf dans les cas où j'ai un lourd bagage, je fais le trajet aéroport-gare Dorval à pied, en coupant en diagonale dans les divers stationnements de l'aéroport, rejoignant la gare Dorval en traversant un terre-plein puis en traversant une voie de service qui mène vers l'autoroute! C'est peu orthodoxe, mais souvent plus rapide que d'attendre la 204! Évidemment, aucun visiteur à Montréal ne pourrait imaginer emprunter ce trajet improvisé.
Merci, tu me confirmes dans mon intention pour le retour de Victoria, car j'avais repéré le sentier visible dans l'herbe du talus de l'autre bord de la gare Dorval à mon départ pour la France en mai, mais je n'ai pas voulu me lancer au cas où il y aurait une clôture à mi-parcours. Lundi, j'avais examiné les terrains du haut de l'autobus et il me semblait bien que la connexion devait se faire. J'avais donc l'intention d'essayer...
Cela dit, il me semble que c'est nouveau et qu'il y a trois ou quatre ans, il y avait des clôtures additionnelles, sinon il me semble que j'aurais déjà essayé.
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Cela dit, il me semble que c'est nouveau et qu'il y a trois ou quatre ans, il y avait des clôtures additionnelles, sinon il me semble que j'aurais déjà essayé.
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