2009-03-16
L'année de Galilée?
Murale de Walter Shirlaw (1838-1909), « Astronomy », dans l'édifice Thomas Jefferson de la Bibliothèque du Congrès à Washington. Photo prise par Carol M. Highsmith (1946-).
Le vendredi 13, le musée d'histoire des sciences de Florence (que j'ai eu la chance de visiter il y a quelques années, pour y admirer entre autres le doigt desséché de Galilée) a ouvert une exposition virtuelle des images de l'astronomie au fil des siècles. Celle-ci fait évidemment partie des solennités associées à l'année internationale de l'astronomie que j'ai déjà évoquée. Mais il s'agit d'une exposition d'une grande richesse, abondamment dotée d'images historiques et de photos de vestiges archéologiques, et même de vidéos, comme cette reconstitution animée de la machine d'Anticythère. Donc, elle est loin d'être chauvine et de parler uniquement de Galilée, comme aurait pu le craindre (un peu) à Florence.Murale de Carl Gutherz (1844-1907), « Light of Astronomy », dans l'édifice Thomas Jefferson de la Bibliothèque du Congrès à Washington. Photo prise par Carol M. Highsmith (1946-).
Bref, il va falloir que j'y retourne pour l'explorer à fond. D'ailleurs, je suis en quête de ressources picturales pour une causerie, mais les images de Florence sont sans doute verrouillées de toutes les manières possibles. (Heureusement qu'il reste quelques institutions à admettre le principe du domaine public....) En effet, le 7 avril prochain, je parlerai de l'histoire de l'astronomie au Canada à l'Université d'Ottawa. Mais j'en reparlerai. Et puis, il y a cette nouvelle sur laquelle je travaille depuis un moment, qui se passe en partie autour d'une étoile dans la constellation de la Mouche...Gravure de Sidney Hall dans l'ouvrage A Familiar Treatise on Astronomy (Londres, 1825) de Jehoshaphat Aspin.
Le vendredi 13, le musée d'histoire des sciences de Florence (que j'ai eu la chance de visiter il y a quelques années, pour y admirer entre autres le doigt desséché de Galilée) a ouvert une exposition virtuelle des images de l'astronomie au fil des siècles. Celle-ci fait évidemment partie des solennités associées à l'année internationale de l'astronomie que j'ai déjà évoquée. Mais il s'agit d'une exposition d'une grande richesse, abondamment dotée d'images historiques et de photos de vestiges archéologiques, et même de vidéos, comme cette reconstitution animée de la machine d'Anticythère. Donc, elle est loin d'être chauvine et de parler uniquement de Galilée, comme aurait pu le craindre (un peu) à Florence.Murale de Carl Gutherz (1844-1907), « Light of Astronomy », dans l'édifice Thomas Jefferson de la Bibliothèque du Congrès à Washington. Photo prise par Carol M. Highsmith (1946-).
Bref, il va falloir que j'y retourne pour l'explorer à fond. D'ailleurs, je suis en quête de ressources picturales pour une causerie, mais les images de Florence sont sans doute verrouillées de toutes les manières possibles. (Heureusement qu'il reste quelques institutions à admettre le principe du domaine public....) En effet, le 7 avril prochain, je parlerai de l'histoire de l'astronomie au Canada à l'Université d'Ottawa. Mais j'en reparlerai. Et puis, il y a cette nouvelle sur laquelle je travaille depuis un moment, qui se passe en partie autour d'une étoile dans la constellation de la Mouche...Gravure de Sidney Hall dans l'ouvrage A Familiar Treatise on Astronomy (Londres, 1825) de Jehoshaphat Aspin.
Libellés : Astronomie, Histoire, Sciences