2010-01-26
Dernier métro pour Oméga Centauri
L'art de la mnémotechnique est encore balbutiant et il se prête donc à de nombreuses expériences...
En fait, Samuel Arbesman n'a pas exactement essayé de produire à des fins pédagogiques cette carte schématique de la Galaxie sous la forme d'un plan de métro galactique. Il s'agissait plutôt d'une manière de domestiquer l'immensité de la Voie lactée. Il l'explique ainsi : « This map is an attempt to approach our galaxy with a bit more familiarity than usual and get people thinking about long-term possibilities in outer space. » Néanmoins, pour les profanes qui prennent plus souvent le métro que les portails transdimensionnels, une telle carte pourrait très bien faciliter la mémorisation des principaux traits de la Galaxie.
Sauf que le résultat présente l'inconvénient de se baser sur les cartes traditionnelles de la Galaxie, et non sur les tentatives plus récentes de cartographier la Galaxie...
Quant à Arbesman, il avoue avoir été inspiré par le roman Contact de Carl Sagan — là où un francophone aurait sans doute reconnu une dette envers Métro Châtelet, direction Cassiopée ou Brooklyn Stations terminus Cosmos... Comme quoi la science-fiction demeure une influence souvent minorée, mais souvent présente.
En fait, Samuel Arbesman n'a pas exactement essayé de produire à des fins pédagogiques cette carte schématique de la Galaxie sous la forme d'un plan de métro galactique. Il s'agissait plutôt d'une manière de domestiquer l'immensité de la Voie lactée. Il l'explique ainsi : « This map is an attempt to approach our galaxy with a bit more familiarity than usual and get people thinking about long-term possibilities in outer space. » Néanmoins, pour les profanes qui prennent plus souvent le métro que les portails transdimensionnels, une telle carte pourrait très bien faciliter la mémorisation des principaux traits de la Galaxie.
Sauf que le résultat présente l'inconvénient de se baser sur les cartes traditionnelles de la Galaxie, et non sur les tentatives plus récentes de cartographier la Galaxie...
Quant à Arbesman, il avoue avoir été inspiré par le roman Contact de Carl Sagan — là où un francophone aurait sans doute reconnu une dette envers Métro Châtelet, direction Cassiopée ou Brooklyn Stations terminus Cosmos... Comme quoi la science-fiction demeure une influence souvent minorée, mais souvent présente.
Libellés : Astronomie