2007-11-08
Expo virtuelle sur la science et l'art
Depuis le 18 octobre dernier, la Galerie de l'UQÀM et le Musée virtuel du Canada présentent une exposition virtuelle sur le thème de « La science dans l'art ». Le nombre d'œuvres n'est pas excessivement élevé, mais chacune est abondamment documentée, si on veut bien se donner la peine de faire le tour des informations fournies. Dans certains cas, des vidéos et des images supplémentaires sont offertes en sus des images principales.
Dans plusieurs cas, toutefois, les œuvres ne sont pas des images, mais des créations ou des installations. Quand il s'agit de montages dans un jardin ou sur un quai du port, il manque forcément une certaine immédiateté. On ne peut qu'admirer de loin.
Et le rapport avec la science est quelque peu ténu. Quatre thèmes (corps, nature, temps, outil) sont censés regrouper les créations des artistes et profiter d'un éclairage particulier. Chaque thème se divise en deux catégories : la santé et le laboratoire pour le corps, l'environnement et le détournement pour la nature, l'identité et la trace pour le temps, et cyborg et data pour l'outil. Dans ces dernières catégories, les machines hystériques de Bill Vorn valent le détour, par exemple. En fait, il ne faut pas avoir peur de consacrer à cette expo autant de temps qu'on consacrerait à la visite d'une galerie bien réelle...
Dans plusieurs cas, toutefois, les œuvres ne sont pas des images, mais des créations ou des installations. Quand il s'agit de montages dans un jardin ou sur un quai du port, il manque forcément une certaine immédiateté. On ne peut qu'admirer de loin.
Et le rapport avec la science est quelque peu ténu. Quatre thèmes (corps, nature, temps, outil) sont censés regrouper les créations des artistes et profiter d'un éclairage particulier. Chaque thème se divise en deux catégories : la santé et le laboratoire pour le corps, l'environnement et le détournement pour la nature, l'identité et la trace pour le temps, et cyborg et data pour l'outil. Dans ces dernières catégories, les machines hystériques de Bill Vorn valent le détour, par exemple. En fait, il ne faut pas avoir peur de consacrer à cette expo autant de temps qu'on consacrerait à la visite d'une galerie bien réelle...
Libellés : Arts