2006-05-13
L'arrière-goût des fèves torréfiées
Quand le soleil n'est pas maître de ta journée,
un petit café peut te lancer dans la nuit
et le cinéma t'accueillir après minuit
Tu es libre de dire oui, libre de rentrer
Tu rêves de marmots, tu rêves d'un foyer
mais tu souhaiterais aussi être à Paris
ou sur un pic des Andes quand l'aube luit
Tu es libre de partir, libre de rentrer
Tu peux dire non quand nul ne te réclame,
quand te suffit la tendresse d'une femme,
l'aide d'un homme, pour sucrer ton café noir
Car tu refuses l'amertume du fretin
qui gobera l'appât jeté à l'eau le soir
La liberté est seule au lit tous les matins
un petit café peut te lancer dans la nuit
et le cinéma t'accueillir après minuit
Tu es libre de dire oui, libre de rentrer
Tu rêves de marmots, tu rêves d'un foyer
mais tu souhaiterais aussi être à Paris
ou sur un pic des Andes quand l'aube luit
Tu es libre de partir, libre de rentrer
Tu peux dire non quand nul ne te réclame,
quand te suffit la tendresse d'une femme,
l'aide d'un homme, pour sucrer ton café noir
Car tu refuses l'amertume du fretin
qui gobera l'appât jeté à l'eau le soir
La liberté est seule au lit tous les matins
Libellés : Poème